Été. Le Sud. Paraît-il que le soleil y brille plus fort qu’ailleurs. Paraît-il qu’il faudrait choisir entre la torpeur réconfortante de l’arrière-pays ou l’agitation vivifiante de la côte.

Exil Expérience se range du côté de celles et ceux dont le cœur balance avec l’espoir d’être surpris : arts et culture sont au programme de ce pas de côté consacré au versant sensible de l’entreprise. Musique, économie, géopolitique, peinture, écologie, festivités.

Le mariage de la carpe et du lapin ? Il est pourtant question de bâtir des ponts entre des émotions personnelles vécues collectivement et une réalité quotidienne triviale, dirigée par la nécessité de produire et de performer. On réapprend à écouter le monde avec ses yeux et ses oreilles. On nourrit son cœur selon ses goûts et ses couleurs en faisant fi des modèles et des injonctions.

On soigne l’âme de l’entreprise en commençant par cajoler la sienne. On se perd, pour mieux se retrouver.